Votre vie personnelle et/ou professionnelle rencontre des difficultés, des bouleversements et parfois des catastrophes. Nous connaissons toutes et tous ces moments et pour quelques-uns (es) d’entre nous à plusieurs reprises, malheureusement.
Certaines
de ces périodes sont plus dure que d’autres, voire traumatisantes, et s’en
relever demande une incroyable énergie, une force de caractère énorme, une
lucidité que le moment rend difficile.
Je
connais ces périodes. J’en ai traversé un certain nombre. Et je sais que dans
ces instants rien n’est simple. Tout vacille. La vie d’avant disparait. Nous ne
sommes jamais prêts à affronter la tempête. Car nous ne savons pas par avance
laquelle surgira brutalement dans nos vies.
Savoir
réagir n’est pas aussi aisé, ni même naturel. Je crois que cela demande des
efforts et un état d’esprit, non pas hors du commun mais hors de notre commun.
Dans
son livre « Le paradoxe du choix »
(Michel Lafon), le psychologue Barry Schwartz explique que trop de choix peut
être angoissant, paralysant et néfaste. En effet, il écrit « Lorsque nous sommes confrontés à trop
d’options, le bonheur nous parait inaccessible ».
Le
juste milieu entre trop et pas assez est un équilibre qui peut vite devenir
compliqué.
A
travers le temps, l’observation et les expériences, je me suis convaincu d’une
règle intangible : celles et ceux
qui ne font rien ont un avis et une solution pour tout.
Elles
ou ils méprisent les uns, condamnent les autres et réduisent les actions entreprises
à une mauvaise décision ou à une erreur. Ces personnes proclament bien haut et
bien fort pouvoir faire beaucoup mieux. Mais ce que nous savons toutes et tous,
c’est qu’elles n’agiront jamais. La critique, le jugement, la condamnation sont
plus faciles que d’entreprendre, au risque de se tromper et de s’exposer aux
regards des autres. Ont-elles si peu de rêves, d’ambitions ou de confiance en
elles pour trouver refuge systématiquement dans l’aigreur ?
La
raison s’affronte continuellement à la prétention. L’action rencontre trop
souvent les mauvaises intentions.
En
règle générale, ce sont celles et ceux qui ne font que regarder les autres
faire qui en parlent le plus. Ces personnes ont tout le temps qu’il faut pour
ce faire les juges des actions d’autrui. Pour agir, il convient donc de laisser
les critiques de côté.
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