Les guerres et les déséquilibres géostratégiques, les dictatures et les menaces nucléaires, les pandémies et le réchauffement climatique, les déficits budgétaires et le coût de la vie de plus en plus élevé, la pérennité dans l’emploi de moins en moins assurée et l’inquiétude quant à l’avenir de nos enfants, la difficulté de se faire soigner et l’épuisement des ressources naturelles, les actes terroristes et une agressivité quotidienne galopante, le manque d’eau et les catastrophes naturelles, ne sont que quelques exemples qui me viennent à l’esprit et que je cite en vrac. Non pour effrayer mais simplement pour rendre compte de ce que l’incertitude est devenue une composante de notre vie et parfois de notre quotidien.
Ne pas s’en satisfaire est une bonne chose. S’en plaindre
indéfiniment et rester dans cette posture revient à se figer dans l’inaction. Ce
n’est évidemment pas la bonne solution. Alors que faire ? Les moments d’incertitudes
amènent des doutes et engagent à se poser les bonnes questions. Qu’est-ce qui
est important pour moi ? Comment atteindre mes véritables objectifs ?
A quelles fins agir ? Nous avons toutes et tous des réponses différentes,
uniques, particulières, mais les questions de bases, centrales sont les mêmes. Elles
sont simples mais peuvent se révéler très puissantes.
Parfois les craintes conduisent à une apathie qui peut devenir
chronique. Il faut absolument ne pas en arriver là et s’interroger bien avant
que n’arrive le découragement.
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